Aujourd’hui sur cavalasante.org, nous allons parler d’un sujet qui concerne bien plus de personnes qu’on ne le pense, mais un sujet sensible et soumis à de nombreuses controverses. Ce sujet, c’est celui de l’insémination artificielle.
De nombreuses règlementations de par le monde
S’il est soumis à de nombreuses controverses, c’est aussi parce que la réglementation n’est pas la même dans tous les pays et que de nombreuses et nombreux célibataires en particulier, préféreraient que la réglementation en vigueur soit la même en France qu’en Belgique ou en Espagne. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle de nombreuses célibataires se rendent hors de nos frontières pour avoir recours à l’insémination artificielle.
Difficile projet pour une femme célibataire
Actuellement, la législation rappelons-le, ne permet de favoriser les projets d’insémination que sont la FIV et la FIVETE que pour les couples hétérosexuels stériles qui sont mariés ou qui peuvent justifier de deux ans de vie commune. Quand nous disons ici favoriser, nous entendons par là, encadré médicalement parlant. Difficile dès lors pour une femme célibataire en France de devenir mère de la sorte.
Qui souvent recourt à l’insémination artisanale
Du fait du cadre légal très strict en France et comme vous pouvez le lire sur cette page, l’aspect médicalement encadré laisse souvent sa place à une insémination artisanale. Mais ces techniques, utilisées avec des taux de succès relativement faibles (de l’ordre de 15% approximativement), poussent les femmes célibataires et les couples homosexuels à avoir recours à une autre solution, l’insémination artificielle à l’étranger.
Ou l’insémination à l’étranger en Belgique ou en Espagne
En France, les donneurs de sperme donnent de façon anonyme et gratuite, mais ce n’est par exemple pas le cas de l’Espagne ou une rémunération en contrepartie du don permet de réduire grandement l’écart entre la demande et l’offre contrairement à la France, de nombreux facteurs qui font que ces pays frontaliers accueillent de nombreuses Françaises chaque année dans le cadre d’une insémination artificielle médicalement assistée.
